Je ressentais ta pudeur diffuse, héritage d’une éducation bédouine
qui passait d’une nationalité à l’autre par le filtre poreux du regard.
Regards des femmes voilées aux mains dessinées..
Regards des jeunes hommes respectueux des traditions.
Silence des regards, frémissements, à la porte du jardin des délices…
Ta peau douce et chaude au goût d’orange sanguine
Ton parfum enivrant mélange de mûres et de mangues.
Je dévorais ta bouche hibiscus, ton nez volubilis.
Et dans mon rêve parisien, je cherchais des yeux la route de Tunis.
lorsque l’@uthentique d’un visage, d’un parfum,
nous inspire, le Mystique n’est pas Loin 😉
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Merci pour ton beau commentaire
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« c’est aussi un Chemin proposé à l’Esprit, pour lâcher-prise à la Nostalgie, et lui Offrir le Sourire sur les Jours à Venir…. que Seul le Ciel lui enverra d’Ailleurs… pour son Cœur 🙂
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